Médias mensonge

"La guerre c'est la paix, la paix c'est la guerre"_ Georges Orwell.

Au travers des images médiatisées lors de la guerre en Irak, plusieurs spécialistes tentent de mettre en lumière la stratégie du gouvernement américain pour justifier, dans l'esprit des gens, la guerre par la nécessité d'apporter la paix.

Décortiquons les ficelles d'une manipulation digne de la science fiction mais pourtant bien réelle, qui serait capable de faire basculer l'opinion publique en faveur des pires atrocités, a condition qu'elle soit invoquée comme remède.

 Une stratégie qui suit son cours en temps de paix (même relative), pour conduire à une autre paix ( encore relative). Alors ne serait-il pas temps de se demander si le but de tout cela, en réalité, ne serait pas simplement de faire la guerre?

Qu'avons nous retenu des propagandes de guerre que nos ancêtres ont vécu?

Regardons le monde dans le miroir d'une guerre qui n'est pas si loin, pour mieux comprendre le reflet propagandiste médiatique...

En 1932, Paul Nizan publiait "Les Chiens de Garde", dénonçant les écrivains de son époque qui se proclamaient indépendants, s'imposant en réalité comme les gardiens de l'ordre établis.

En 1995, Pierre Carles tente de pénétrer les coulisses des relations de connivence entre journalistes et politiques, à la demande de Canal +, qui le refusera finalement, sous prétexte de "politiquement incorrect" (http://www.youtube.com/watch?v=-_e3rAfSIG4).

Aujourd'hui, Paris accueil chaque mois le dîner huppé d'un groupe très fermé, nommé Dîner du Siècle, il rassemble la crème du journalisme, de la politique et du haut patronna en toute intimité, quand par ailleurs ils font presque mine de ne pas se connaitre, et les médias, sur le papier comme à l'écran, revendiquent leur contre pouvoir.

Qui sont ces nouveaux chiens de garde?

(Vidéo complète : https://vimeo.com/212799054)

 Pour qu'une dictature fonctionne elle ne se contente pas d'augmenter la taille de son armée, elle doit "conquérir le coeur" du peuple, l'Allemagne hier, la Corée du Nord aujourd'hui ( entre autre) n'auraient pu étendre leur contrôle sans l'aide de la foule.

Mais serions nous meilleurs ou pire que ces gens, est une question qui traverse les années et les continents qui ne l'ont pas vécu...

Une question qu'ont posé les élèves d'une classe de seconde à leur professeur il y une quarantaine d'année, et la réponse qu'il leur fit fut certainement l'expérience la plus marquante de leur vie.

Aujourd'hui ces élèves devenus adultes témoignent de cette semaine gravée dans leur mémoire, une leçon qu'ils ont tenu à partager pour la postérité...